photo Mon premier mari était scaphandrier

Mon premier mari était scaphandrier

Musique, Spectacle

Marseille 13000

Le 18/05/2025

De scène en scène, le Train Bleu est un itinéraire côtier, qui accueillera le 18 mai une création de l'Ensemble Télémaque. Les détails seront précisés sur le site internet letrainbleu.net "Madame vous attend chez elle. Ou plutôt chez des ami.es. Car Madame aime recevoir chez les autres. Elle y vient en grande pompe, affublée d’Édouard, son homme à tout faire, violoncelliste de renom. Ensemble, ils s’adonnent à leur occupation préférée : raconter une histoire. Cette histoire n’est pas anodine, c’est celle de Madame et de ses nombreuses noces. Edouard joue du violoncelle, et Madame nous promène dans ses amours, toutes plus extravagantes les unes que les autres. Il va sans dire que tout est vrai. “La vérité, toute la vérité” clame Madame. “Rien que la vérité” ajoute Edouard… A l’image des contes voltairiens, entre philosophie et rocambolesque, c’est en musique que nous traverserons cette galerie de portraits amoureux dignes des caractères de La Bruyère. Avec, à l’esprit, question lancinante : faut-il vraiment vivre tout ça pour enfin trouver l’amour ? "Renaud Marie Leblanc Raoul Lay musique Agnès Audiffren comédienne Jean-Florent Gabriel violoncelle Renaud[...]

photo Cycle à l'Institut de l'Image - Evasions#2

Cycle à l'Institut de l'Image - Evasions#2

Cinéma

Aix-en-Provence 13090

Du 30/06/2021 au 31/07/2021

// Au programme // ● Le ciel peut attendre – Heaven Can Wait (USA, 1943) 1h53, réalisé par Ernst Lubitsch avec Gene Tierney, Don Ameche, Charles Coburn… Henry Van Cleve, un homme qui aimait un peu trop les femmes, se présente spontanément à la porte de l’enfer le jour de sa mort, convaincu que le paradis lui sera refusé. Lucifer, très affable, l’accueille, et ensemble, ils remontent le cours de l’existence du séducteur pour décider s’il est vraiment indigne du paradis... ● Stromboli – Stromboli, Terra di Dio (It., 1950) 1h45, réalisé par Roberto Rossellini avec Ingrid Bergman, Mario Vitale... Assignée dans un camp de réfugiés, Karin, une jeune Lituanienne, ne peut quitter l'Italie de l'après-guerre. Dans ces moments difficiles, elle accepte d'épouser Antonio, jeune pêcheur de l'île volcanique de Stromboli. Mais la vie sur l'île devient rapidement un enfer pour elle… ● Juliette ou la clef des songes (Fr., 1951) 1h32, réalisé par Marcel Carné avec Gérard Philipe, Suzanne Cloutier… Michel a volé par amour. Dans sa prison, il songe à Juliette, la jeune fille qu’il aime et qui, probablement l’a oublié. Au cours de sa rêverie, une lumière inconnue envahit sa cellule[...]

photo Uppercut - Collectif Gena

Uppercut - Collectif Gena

Musique, Spectacle

Marseille 13000

Le 30/08/2021

Ici, la boxe anglaise - le "noble art" - n'est pas un prétexte ni un emballage, elle est l'objet même, le sixième personnage de la pièce. Un ring - Les silences, les coups, la respiration des adversaires, sonore. Un pas de côté, deux pas en avant, une musique, un jeu de jambe, une danse. Des ombres. Un micro. Une cloche, 1 minute, et l’histoire recommence. Autour des deux protagonistes, la curée - Le public qui se fait face prend parti, se regarde frémir, se lever, chanter, et hurler après celui qu’il veut voir tomber. Celui qu’il porte est l’image de lui-même : défiant la peur, triomphant de tout, à la force de ses poings. Les histoires de boxeurs ont habité et fasciné la musique, le jazz, le cinéma. Et comment ne pas le comprendre ? Chaque grand champion reflète l’histoire des peuples. Mohamed Ali, Young Perez, Joe Louis, Frazier, Cerdan… Autant de têtes relevées, face à leur destin, pour gagner des droits sur l’oppression. La boxe a son langage, dont la lecture n’a pas de frontière, si ce n’est celles dessinées par les cordes du ring. Aussi, pour Uppercut qui porte à la scène le combat d’un homme, il était évident de porter son langage et son esthétique sur scène.[...]

photo Requiem de Mozart

Requiem de Mozart

Musique, Concert

Marseille 13000

Le 17/06/2021

Festival Sacré-Orgue #2 "Comme la mort […] est l’ultime étape de notre vie, je me suis familiarisé depuis quelques années avec ce meilleur et véritable ami de l’homme, de sorte que son image non seulement n’a pour moi rien d’effrayant mais est plutôt quelque chose de rassurant et de consolateur." disait Mozart à son père avant d’écrire le Requiem. Ce calme face à la mort, on le retrouve tout au long du Requiem, messe pour les morts qui oscille entre accents terribles et tendres mélodies apaisantes et mélancoliques. D’autant qu’en 1791, cela fait plus d’un an que Mozart est gravement malade. Persuadé d’avoir été empoisonné à l’Aqua Tofana (un poison très lent) et sentant sa fin proche, c’est peut-être son propre Requiem - son propre hommage - que Mozart écrit, sa dernière confidence. Pierre Guiral à la direction et Luc Antonini à l’orgue interprèteront cet ultime chef-d’œuvre du compositeur. Pierre Guiral, Direction | Luc Antonini, orgue Choeur Région Sud | Raphaèle Andrieu, soprano solo | Christine Craipeau, mezzo-soprano solo | Camille Tresmontant, ténor solo | Raphaël Marbaud, basse solo Concert présenté par Marseille Concerts, en partenariat avec la Basilique[...]

photo Fake World

Fake World

Photographie - Vidéo, Nature - Environnement

Aix-en-Provence 13090

Du 05/02/2022 au 02/04/2022

La première proposition artistique de la galerie Parallax, pour cette année 2022, vous plongera dans des mondes parallèles : Fake World. Deux artistes photographes nous donneront à voir des visions de notre Terre… perturbantes. Jean-Marc Yersin capte un monde par des vues satellites et traduit par une intelligence non humaine dont émanent des aplats de couleurs synthétiques , des formes approximatives …des Métropolis virtuelles …Reconnaitrez vous les villes comme Paris , Lisbonne, Singapour, Hong Kong, Tokyo, Londres ? Sébastien Pageot se joue de notre appréciation du réel dans une photographie. L’artiste nous questionne sur l’empreinte de l’homme sur son environnement. En y intégrant des maquettes, nous perdons nos repères brouillant notre perception du paysage photographié. Quel est la part du réel dans l’image ? Conférence de Jean-Marc Yersin le 2 avril à 18h, suivi d'un cocktail.

photo Cycle à l'Institut de l'Image - Nous (et ) les animaux

Cycle à l'Institut de l'Image - Nous (et ) les animaux

Aix-en-Provence 13090

Du 04/03/2022 au 29/03/2022

Ou comment le cinéma a filmé, représenté, admiré et observé les bêtes, ainsi que leurs relations avec nous, les humains, et comment notre regard sur elles a pu changer tout au long de cette histoire Dès la fin du XIXe siècle, les travaux protocinématographiques d’Etienne-Jules Marey et d’Eadweard Muybridge visaient à comprendre, en le décomposant, le mouvement des animaux (Muybridge inventa d’ailleurs un jouet optique appelé le zoopraxiscope). Depuis, les animaux sont omniprésents au cinéma, toutes sortes d’animaux : mammifères, insectes, poissons, reptiles, etc. jusqu’à devenir des personnages à part entière, fidèles compagnons de l’homme (ou de l’enfant), dangereux prédateurs (Jaws), ou encore sujets d’étude (voir les hippocampes et autres pieuvres des films scientifiques de Jean Painlevé), sans oublier les toons issus des films d’animation (Bugs Bunny, Daffy Duck…). Animaux dressés, animaux sauvages, imaginaires (loup-garou), « faux » animaux (marionnettes, animatronique, animation image par image), hommes-animaux, composent ce bestiaire. ● Ma vache et moi – Go West (USA, 1925) 1h10 – DVD de Buster Keaton avec Buster Keaton, Brown Eyes… Le 4 mars à 18h15, le 9[...]